dans notre réseau
L’accord du gouvernement annoncé hier portant sur les futurs investissements dans la Défense est irresponsable en ces temps de crises économique, sociale et climatique. Le Gouvernement entend en effet investir pour 9,2 milliards d’euro de matériel militaire à partir de la prochaine législature. Un budget colossal pour lequel on est bien en peine d’identifier les sources de financement.
Coûts exorbitants
Parmi ces investissements, les 34 avions de combat se taillent la part de cette absurdité budgétaire. Le coût de ces appareils dépend du modèle envisagé mais atteindra en tout cas 5 milliards d’euro. Viennent s’ajouter à ce coût d’achat, des frais d’entretien annuels d’environ 240 millions d’euro, pendant 30 ans (la durée de vie d’un avion de chasse). 7,2 milliards d’euro en plus, donc.
Compensations économiques douteuses
Les partisans de l’achat de nouveaux avions de combat soulignent les compensations économiques que notre pays pourrait espérer. Toutefois, l'Institut flamand pour la Paix montre que jusqu'ici, aucune étude approfondie et indépendante n’a été faite sur ce potentiel retour économique, malgré la proposition de Résolution des partis de l’opposition qui demandent logiquement un audit de la Cour des comptes. Une proposition de résolution pour laquelle le débat parlementaire vient d’être ajournée par les partis de la majorité. Ces derniers envisageant un travail en Commission sur les achats militaires, qui siège à huis clos. L’ « investissement du siècle » comme l’appelle certains commentateurs ne mériterait-il pas un débat public et transparent ? Un sondage d’opinion réalisé par l’Université d’Anvers a pourtant souligné que seul un quart des sondés est favorable au remplacement des F-16.
En tout état de cause, la question des compensations ne peut être calculée sur la base d'une simple comparaison avec la rémunération antérieure pour l'achat de F-16 pour lequel, contrairement au cas qui nous occupe, la Belgique faisait partie du consortium industriel chargé de son développement.
Aucune contribution à la paix et à la stabilité
La plupart des menaces identifiées par les concepts stratégiques de l'OTAN et de l'Union européenne sont de nature non-militaire. Les grandes interventions militaires, elles, ont à chaque fois entraînées des conséquences catastrophiques et ont à chaque fois contribuées à une plus grande instabilité. Le non-sens veut pourtant qu’elles restent la seule voie officiellement envisagée pour répondre à une crise.
Notons en outre que, rien qu’au niveau de l'UE, il y a un excédent de capacité de plus de 2000 avions de combat, de différents types. Si la Belgique entend se « spécialiser », comme le demande la Résolution de la Chambre sur l’avenir de l’armée belge, elle doit se concentrer sur les questions de la prévention des conflits, la construction de la paix, le désarmement, la lutte contre les exportations d'armes européennes vers les zones de conflit, le développement ou la lutte contre le changement climatique. Or, alors que des milliards d'euros sont envisagés pour l'achat de nouveaux avions de combat, le budget belge pour "la prévention des conflits, la paix et les droits humains», a chuté de dix-sept millions en 2014 à cinq millions en 2015. Le service « consolidation de la paix » du ministère des Affaires étrangères a, lui, été supprimé.
La capacité nucléaire
La question du remplacement des F-16 est directement liée à la présence des armes nucléaires à Kleine Brogel, puisque nos militaires ont la charge de transporter et, le cas échéant, de larguer les bombes nucléaires américaines présentes sur notre territoire. L’armée belge a d’ailleurs écrit une note à ce sujet, demandant au Gouvernement que la future flotte de bombardiers conserve cette capacité nucléaire.
Le mouvement de la paix rappelle encore une fois l’illégalité la présence de têtes nucléaires en Belgique et dénonce l’action délétère de la Belgique contre le désarmement nucléaire mondial. Le retrait des armes nucléaires de Kleine Brogel est exigé par 63% de la population belge.
Pour la plateforme « Pas d’avions de chasse »,
Naïma Regueras, Présidente de la CNAPD
Lars Van Densen, Vice-Président d'intal
Le M.O.C. vous invite à participer à la mobilisation pour la COP 21. Paris en train, à pied ou à vélo.
Celle-ci se déroulera samedi 31 octobre, à la Erasmushogeschool, Rue des Six Jetons 70, 1000 Bruxelles
Journée conférences, ateliers, débats. Entrée libre.
Avec PABLO SOLON
(ex ambassadeur de la Bolivie à l’ONU)
et ASBJORN WAHL
(Confédération Syndicale Internationale)
Programme de la journée:
9h30 Accueil
10h Conférence de Pablo Solon: mise en perspective de la COP 21 et de ses enjeux
10h30 – 12h Ateliers
PAUSE SANDWICHES
13h30 – 15h30 Ateliers
15h30 – 17h30 Rapport des ateliers et débat
Pause
18H Meeting final avec :
Pablo Solon, Asbjorn Wahl, Natalie Eggermont (Climate Express), Brigitte Gloire (oxfam solidarité), Douglas Sepulchre (Climat et Justice Sociale)
Avec en ateliers :
– Climat et dette écologique
– Technologies dangereuses
– Ressources: épuisement, dépassement, effondrement
– Alimentation, Forêts, usage des sols et Climat
– Syndicats, Emploi et Climat
Organisé par : Climat et Justice Sociale, OXFAM Solidarité, CADTM, MPOC, Nucléaire stop
Avec le soutien de : CETRI, Climate express
Rendez-vous samedi 31 octobre !
Plus d'informations disponible sur le site : https://www.climatetjusticesociale.org/
Appel à toutes les organisations et mouvements qui se reconnaissent dans nos mots d'ordre, à s'approprier le cadre d'action, à compléter le programme et à nous rejoindre dans les Marches et/ou à Bruxelles les 15, 16 et 17 octobre 2015.
« Oxi ! Basta ! Enough ! Construisons une autre Europe »Non à l'austérité, à la pauvreté, au TTIP, au racisme et à la corruptionOui à la solidarité sans frontièresArrivée des Marches Européennes et Journées d'actions du 15 au 17 octobre 2015, Bruxelles.
En Grèce, la population a dit Oxi ! Non ! Un Non ! aux exigences cruelles et irraisonnables pour plus d'austérité et d'appauvrissement.
Dans toute l'Europe, des centaines de milliers de personnes sont descendues dans la rue pour soutenir le peuple grec en ayant conscience que soutenir leur lutte c'est défendre nos droits partout en Europe. Les élites européennes, au nom du profit et de la compétitivité, s'attaquent à la justice sociale, à la démocratie, au climat et font de l'Europe un terrain de jeu pour leurs propres intérêts. Ils usent du chantage et humilient toutes celles et ceux qui résistent, ils utilisent la peur, le nationalisme et la division raciste pour gouverner, et prétendent qu'il n'y a pas d'alternatives.
Pourtant, nous construisons des alternatives au travers de nos luttes nombreuses et variées.Développons la solidarité sans frontières, notre force réside dans un OXI ! Basta ! Enough ! Européen. Construisons une autre Europe maintenant !
Vous pouvez aussi télécharger ici le tract de l'appel à toutes les organisations et mouvements qui se reconnaissent dans nos mots d'ordre, à s'approprier le cadre d'action, à compléter le programme et à nous rejoindre dans les Marches et/ou à Bruxelles les 15, 16 et 17 octobre 2015.
La Région wallonne a fait le choix d’imposer les compteurs à budget aux ménages en difficulté de paiement. Une facilité pour les fournisseurs, mais un choix coûteux pour les consommateurs : plus de 43 millions d’euros1 ont été répercutés sur la facture des Wallons en 2013, et ce budget augmente chaque année2. Ces 43 millions devraient plutôt servir à l’amélioration de la performance énergétique des logements. Elle permet d’une part d’apporter des réponses structurelles aux ménages en difficulté d’accès à l’énergie et, d’autre part, de répondre à des enjeux environnementaux et économiques.
Sachant que le budget des primes Energie/Logement a lui été réduit de 25 millions en 2015 et est de l’ordre de 40 millions d’euros, il est interpelant de constater que la Région Wallonne alloue une somme similaire d’un côté pour une politique d’exclusion sociale qui réduit l’accès à l’énergie des ménages, de l’autre pour un soutien à la rénovation, qui renforcerait ce droit ! Et que c’est le budget de la seconde qui diminue drastiquement !
Pour lire la suite du communiqué, cliquez ici.
Les belges ne veulent pas de nouveaux avions de chasse
Il n’y a aucun soutien de la société belge pour l’investissement de milliards d’euros dans l’achat de nouveaux avions de chasse. D’après une enquête de l’Université d’Anvers, seulement 25% des belges y sont favorables. C’est un message clair en direction du gouvernement. Le mouvement de la paix vous demande de venir renforcer ce message par votre soutien.
L’État belge n’a pas de milliards d’euros à dépenser
L’achat de nouveaux chasseurs-bombardiers coûtera facilement 6 milliards d’euros. Un montant non disponible ! La crise économique et financière oblige chacun d’entre nous à modérer ses dépenses. L’État belge également, qui a déjà annoncé de nouvelles politiques d’austérité (la banque nationale demande 14 Milliards d’économie d’ici à 2017). La priorité du gouvernement sera de travailler à une politique durable en matière économique, climatique, environnementale, de soins de santé et de sécurité sociale.
Les missions militaires n’amènent ni la paix, ni la stabilité
Les interventions militaires dans les différentes parties du monde n’ont pas entraînées davantage de paix ou de stabilisation. Au contraire. Les situations en Afghanistan ou en Libye en sont des exemples alarmants. Il est urgent d’apporter un autre regard sur les politiques de gestion des conflits et de maintien de la paix ; parce que la recette militaire ne marche pas. Si l’objectif de cet achat est réellement de contribuer à la paix et à la stabilité, de nouveaux avions de chasse seraient le plus mauvais investissement possible.
Un débat public et démocratique
La question de l’achat de nouveaux avions de chasse commande l’organisation d’un débat ouvert et démocratique portant tant sur le rôle et l’avenir de l’armée belge, que sur l’identification des investissements prioritaires en vue d’apporter notre contribution à un monde durablement en paix et plus sûr.
Cliquez ici pour signer la pétition
En 2013, la Plate-forme d’action santé et solidarité a organisé une première conférence sur les transferts de compétences pour, d’une part, expliquer de façon pédagogique le contenu de la 6e réforme de l’État dans le domaine de la santé et, d’autre part, présenter les défis et opportunités suite à cette réforme.
Aujourd’hui de nouveaux gouvernements sont en place en Flandre, en Wallonie et à Bruxelles. La Plate-forme souhaite réitérer cette expérience, en invitant les Ministres concernés à présenter comment ils projettent d’assumer ces nouvelles compétences dans le cadre d’une vision globale de la santé et comment ils vont intégrer concrètement leurs nouvelles compétences en santé dans leur programme.
Après les présentations des Ministres, des représentants mutuelliste, syndicaliste et du secteur santé-social interpelleront les Ministres et donneront également leur point de vue sur les défis et opportunités.
La conférence se tiendra Mardi 24 février 2015 de 9h00 à 13h00
Maison des Associations Internationales - MAI
Rue Washington, 40 - 1050 Bruxelles
Informations et inscriptions : info@sante-solidarite.be
ou au 02 209 23 64 et 0476 44 10 66
Pour plus détails concernant le programmen veuillez cliquez ici
Après un effet d’annonce très prometteur, il s’est vite avéré que le projet de résolution de la majorité gouvernementale nous ramène aux calendes grecques en posant trois conditions préalables qui définiraient le « moment opportun » d’une reconnaissance: avancer en fonction des discussions européennes sur le sujet, sur base d’un gouvernement palestinien de plein exercice et dans le cadre de négociations.
Et pourtant le seul moment opportun, c’est immédiatement !
Il est important que nous soyons nombreux à nous exprimer à ce sujet afin de transmettre un message fort, très rapidement, au gouvernement !
Merci de cliquer sur l'image pour accéder à la pétition en ligne
C’est aujourd’hui que le nouveau gouvernement fait sa déclaration de politique générale. L’occasion pour le CIRÉ de réagir à l’accord de gouvernement, qu’il juge inquiétant pour les droits des migrants.
À la lecture de l’accord, on note une tonalité négative : le texte insiste fortement sur l’image du "migrant abuseur" - quand il n’est pas criminel. Un migrant qu’il faut contenir, empêcher d’arriver chez nous, contrôler de près pour pouvoir le renvoyer au plus vite. L'accord laisse transparaître une volonté de fermeture et de restriction des droits des étrangers.
Pour lire la suite du communiqué de presse et télécharger la réaction à l'accord de gouvernement sur l'asile et l'immigration d'octobre 2014, cliquez ici
Nous appelons les institutions de l'Union européenne et de ses pays membres, à arrêter les négociations avec les Etats-Unis sur le Partenariat transatlantique de commerce et d'investissement (TTIP ou TAFTA) et à ne pas ratifier l'Accord Economique et Commercial Global (CETA) avec le Canada.
Principaux objectifs :
Nous souhaitons empêcher que soient conclus les accords TTIP/TAFTA et CETA car ils contiennent plusieurs points critiques telles que le règlement de conflits investisseurs-Etats et de règles sur la coopération réglementaire qui constituent une menace pour la démocratie et l’Etat de droit. Nous souhaitons empêcher que les droits au travail, les normes sociales, environnementales, de protection de la vie privée et des consommateurs soient abaissées et que les services publics (tel que ceux liés à l'eau) et le patrimoine culturel soient dérégulés dans le cadre de négociations non transparentes. Nous soutenons une politique commerciale et d'investissement alternative au sein de l'UE.
Pour plus de renseignement, et signer la pétition contre le TTIP, cliquez ici
Le MOC, en collaboration avec d'autres associations vient de publier une carte blanche rédigée par Katarzyna Lemanska, membre de la Coordination Européenne des Comités pour la Palestine (ECCP), concernant le récent conflit dans la Bande de Gaza qui fit des milliers de morts en Palestine et en corollaire le manque de sanctions de la part de l'État Belge.
La récente opération militaire d’Israël sur la bande de Gaza avait un triste air de déjà-vu : une majorité de civils tués, en majorité des infrastructures civiles détruites, des images de dévastation passées en boucle sur les chaines de télévision.
L’ONU a comptabilisé 2.131 morts, dont 501 enfants, plus de 3.400 blessés, 55.650 maisons, 220 écoles et 62 hôpitaux endommagés ou détruits. Il a fallu 50 jours pour (achever de) détruire Gaza. Il faudra 20 ans pour la reconstruire. Les effets sur la population dépassent bien entendu les destructions matérielles : des familles entières ont été décimées, 142 familles ont perdu au moins trois de leurs membres, un mort sur quatre est un enfant. Les dégâts physiques et psychiques sont difficilement quantifiables.
Est-ce que le conflit israélo-palestinien est complexe ? Oui. Inextricable ? Non. Cette attaque aurait pu être évitée. La Belgique en porte sa part de responsabilité : celle de ne jamais avoir donné suite au rapport de la Mission d’établissement des faits des Nations Unies qui avait suivi l’opération Plomb Durci (2008-2009), laissant impunis les responsables des crimes identifiés ; de systématiquement se cacher derrière un consensus européen impossible à atteindre tant les sensibilités sur la question israélo-palestinienne sont vives ; de ne pas avoir dénoncé les pressions exercées sur l’Autorité palestinienne afin que celle-ci ne ratifie pas le statut de Rome (ce qui ouvrirait la voie à des poursuites judiciaires contre les dirigeants israéliens responsables de crimes de guerre) ; de ne pas avoir adopté ou soutenu des mesures contre le gouvernement israélien afin de forcer ce dernier à lever le blocus de Gaza, ce qui aurait mis fin à l’économie des tunnels, prétexte à la guerre ; de ne pas avoir demandé de dédommagements lorsque des infrastructures financées par l’Union européenne étaient détruites. Plus généralement, la Belgique est fautive de ne pas prendre toutes les mesures possibles pour faire pression sur Israël afin que cesse l’occupation du Territoire palestinien et l’ensemble des exactions qui gangrènent tous les aspects de la vie des Palestiniens.
C’est parce que la Belgique a failli à ses obligations et engagements en matière de droits de l’homme que la société civile se mobilise, une fois de plus. Des milliers de Belges ont manifesté durant les hostilités pour signifier au gouvernement qu’il est en décalage avec le sentiment populaire, que la paix ne viendra pas sans justice, que l’absence de perspectives nourrit la violence. L’inaction, le silence et les condamnations " équilibrées " dans un contexte de déséquilibre évident sont indécents.
A Bruxelles, ce 24 septembre, à l’Albert Hall, des juristes et des représentants du monde associatif, académique, médical et culturel se sont réunis dans le cadre du Tribunal Russell sur la Palestine, un tribunal d’initiative populaire qui trouve son origine dans les tribunaux d’opinion établis dans les années 60 en réaction à la guerre du Vietnam. S’il est évident qu’aucune des parties prenant part aux hostilités, y compris le Hamas et d’autres groupes palestiniens, ne peut déroger aux Conventions de Genève et s’attaquer à des civils non-armés, la disproportion des pertes humaines reflète l’asymétrie indéniable entre l’occupant et l’occupé. Le Tribunal Russell s’est donc penché sur les crimes commis par l’armée israélienne et a conclu, après avoir entendu de nombreux témoignages, que des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité ont été commis à Gaza par l’armée israélienne. De plus, dans certains cas, l’incitation à la haine à différents échelons de la société israélienne a atteint le seuil nécessaire pour pouvoir être qualifié d’incitation au crime de génocide. Entre l’intensification de la rhétorique raciste et l’incitation à la violence durant l’été 2014, une situation d’impunité persistante et un régime de punition collective et prolongée (via le blocus et des attaques indiscriminées contre les civils), il n’est pas inconcevable qu’Israël bascule vers le crime de génocide. Une sonnette d’alarme est donc tirée. Le gouvernement doit intervenir car il est de sa responsabilité de faire appliquer le droit international. Cela permettra peut-être d’éviter un énième décompte macabre.
Signataires :
Tribunal Russell sur la Palestine, Solidarité Socialiste, Mouvement Ouvrier Chrétien (MOC), CNAPD (Coordination Nationale d’Action pour la Paix et la Démocratie), Association Belgo-Palestinienne (ABP), FGTB/ABVV, La Centrale Générale-FGTB.
L'article a été diffusé à la fois sur le site du CNAPD et sur le site de la RTBF. Pour les découvrir, veuillez cliquer sur les liens ci-dessous :
Le Mouvement Ouvrier Chrétien a appris avec tristesse le décès inopiné de Jean-Paul Duchâteau. Journaliste brillant, il fut membre de l’équipe rédactionnelle de la Cité qu’il marqua de son empreinte par sa connaissance des dossiers internationaux et pour avoir piloté la transformation du journal en tabloïd.
Le MOC présente à sa famille ainsi qu’à la rédaction de La Libre Belgique ses plus sincères et respectueuses condoléances.
Christian Kunsch,
Président du MOC
Nous vous informons que le site www.energieinfowallonie.be est à présent en ligne.
Créé conjointement par le RWADE et Droits quotidiens avec le soutien du précédent Gouvernement wallon, Energie Info Wallonie est un service d’appui aux consommateurs vulnérables, désormais officiellement opérationnel ; il a pour objectif de soutenir et informer gratuitement les travailleurs sociaux et les citoyens consommateurs sur toute difficulté ou question liée à l'accès à l'énergie (gaz et électricité).
Dimanche 27 juillet à partir de 14h
Rassemblement gare du Nord (D
épart Cortège à 14h30 – arrivée Place Rouppe)
STOP AUX BOMBARDEMENTS CONTRE GAZA !
Soyons nombreux pour dénoncer l’agression israélienne contre Gaza !
Suite à l’intensification des bombardements et à l’offensive terrestre en cours, la plateforme Urgence Gaza appelle à une manifestation nationale dimanche 27 juillet à Bruxelles. Les organisations signataires réclament avec vigueur au gouvernement belge et à l’Union européenne d’agir immédiatement afin de :
- dénoncer et condamner avec fermeté les violations du droit international commises depuis le début de l’offensive ;
- exiger un cessez-le-feu et imposer un embargo sur les armes ;
- exiger d’Israël la levée du blocus illégal de la bande de Gaza ;
- suspendre l’accord d’association entre l’Union européenne et Israël tant que ce dernier ne respectera par le droit international systématiquement violé par l’occupation et la colonisation des Territoires palestiniens ;
- soutenir le gouvernement palestinien d’entente nationale.
Signataires de la Plateforme Urgence-Gaza :
Association belgo-palestinienne WB ; CNCD 11.11.11, 11.11.11 ; Agir pour la Paix, ; Artistes contre le Mur ; Association Culturelle Joseph Jacquemotte; Awsa-Be; CADTM Belgique ; Centrale Générale-FGTB ; CNAPD ; Comité de Vigilance pour la Démocratie en Tunisie ; Comité Verviers Palestine, ; Comité PJPO de Braine l’Alleud, Comité PJPO de d’Ittre & Comité PJPO de Mazerine ; Comité surveillance Otan (CSO) ; Communauté Palestinienne en Belgique et au Luxembourg, ; Coordination namuroise belgo-palestinienne ; Conseil de la Jeunesse ; CSC-ACV Bruxelles Halle Vilvorde ; Ecolo J ; Esperanza Palestina Namur ; FGTB-ABVV ; FOS-socialistische solidariteit vzw ; Groupe Proche-Orient santé ; Hope-Espoir- Hoop asbl ; Intal ; Jeunes Anticapitalistes ; Jeunes socialistes ; Jeunesse et Culture – Réseau solidaris ; LCR-SAP ; Médecine pour le Tiers Monde (M3M) / Geneeskunde voor de Derde Wereld (G3W); Mouvement Chrétien pour la Paix (MCP) ; Mouvement Ouvrier Chrétien (MOC) ; Palestina Solidariteit ; Plate-forme Charleroi-Palestine ; Présence et Action culturelle (PAC) ; PTB-PVDA ; SCI ; Solidarité socialiste ; Solidarity with Bedouins ; Théâtre du Public ; ULDP ; Union des Musulmans de Namur ; Union des Progressistes Juifs de Belgique (UPJB) ; VEGA ; ViaVelo Palestina ; Vie féminine ; Vrede vzw ;…